Loïck Peyron : « La Transat anglaise a tout changé »

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Philippe Eliès

Par Philippe Eliès

Triple vainqueur de la Transat anglaise, deux fois en multicoque, une fois en monocoque, Loïck Peyron, 64 ans, garde d’excellents souvenirs de la mère des transats, devenue The Transat CIC entre Lorient et New York.

En 2016, Loïck Peyron décide de participer une nouvelle fois sur la Transat anglaise à la barre du fameux Pen Duick II d’Éric Tabarly.
En 2016, Loïck Peyron décide de participer une nouvelle fois sur la Transat anglaise à la barre du fameux Pen Duick II d’Éric Tabarly. (Photo Philippe Eliès)
The Transat CIC (Lorient - New York), départ le dimanche 28 avril

Pourquoi cette transat reste une référence ?

Loïck Peyron : Parce que c’était la première, déjà. En 1960, on a vu débarquer cette transat organisée par le fameux Blondie Hasler qui a pris le départ : ils n’étaient que cinq sur la première. Moi, je venais de naître. Ensuite, la France a découvert ce qu’était cette transat grâce à un certain Éric Tabarly qui gagne la deuxième édition. Il montre à nous tous que la voile est un sport, non pas réservé à des yachtmen mais à des athlètes qui prennent un malin plaisir à être seul en mer, à régater et à gagner des courses.

Le hublot de pont inventé par Éric Tabarly pour surveiller ses voiles, au sec.
Le hublot de pont inventé par Éric Tabarly pour surveiller ses voiles, au sec. (Photo Philippe Eliès)

La victoire de Tabarly a tout changé selon vous ?

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